Publié le 09/12/2021

La démarche « Bien entendre, c’est bien vivre » vise à mettre en avant ce que l’on gagne à bien entendre plutôt que ce que l’on perd quand l’ouïe est déficiente.

 

La réflexion menée par Phonak s’appuie sur trois piliers : le bien-être social-émotionnel (bien entendre facilite l’engagement et renforce les liens avec ses proches), le bien-être cognitif et le bien-être physique (l’appareillage diminue par exemple la fatigue). Cette approche holistique a été élaborée suite à une étude faite en 2019 par un groupe d’experts réunis par Phonak en Suisse. Ils ont intégré les différentes recherches qui montrent, entre autres, que les malentendants non appareillés sont plus susceptibles de souffrir de stress ou de dépression que les normo-entendants, sont plus exposés au risque de chute ou encore que l’utilisation d’aides auditives prévient la démence.

 

Parler du ‘bien entendre’ au-delà des centres audio

Avec « Bien entendre, c’est bien vivre », Phonak veut notamment sensibiliser les généralistes pour favoriser la prévention. « Grâce à une approche de soins centrée sur la famille, en discutant des comorbidités, de la technologie auditive et des stratégies de communication, les professionnels de l’audition et la réhabilitation auditive par le biais d’aides auditives peuvent jouer un rôle central dans la promotion de la communication, la participation à des activités physiquement ou cognitivement stimulantes et le fonctionnement social, servant ainsi de catalyseur pour le bien-être », argumente le fabricant.

 

Pour diffuser cette démarche, Phonak s’appuie sur son ambassadeur Cyril Dessel, directeur sportif de l’équipe de cyclisme AG2R Citroën Team et ancien cycliste professionnel, malentendant et utilisateur d’Audéo Paradise. Il plaide pour un appareillage le plus précoce possible et, fort de sa propre expérience, déclare que « mieux entendre améliore la confiance en soi ».

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