Publié le 26/08/2014

La réponse ne s’est pas fait attendre. Hier sur France 3, lors du «12/13 National», Luis Godinho, président de l’Unsaf (Syndicat national des audioprothésistes), a réagi quant à l’autorisation donnée aux pharmaciens de vendre des assistants d’écoute. (voir news en relation.)

 

Le reportage commence avec l’intervention de Maxence Petit, fabricant de ces assistants d’écoute, qui affirme que «[les assistants d’écoute] présentent les mêmes composants, et qu’il sont achetés aux mêmes fabricants [que les aides auditives], la différence résidant dans un algorithme qui permet l’amplification des sons qu’on a perdus avec l’âge, uniquement les sons aigus» et le témoignage d’un pharmacien qui insiste sur «la simplicité d’appareillage [des assistants d’écoute] qui ne nécessitent pas d’intervention [d’un professionnel].»

 

Pour sa part, Luis Godinho, président de l’Unsaf a insisté sur «le service personnalisé du début à la fin avec d’abord une  visite médicale avec rien d’autre à soigner et ensuite une adaptation sur mesure. Cela n’a rien à voir [avec les assistants d’écoute], et d’ailleurs les gens qui sont équipés sont les premiers à défendre l’utilité de l’audioprothésiste.»

 
«Et de s’appuyer sur une enquête internationale qui démontrerait que le taux de satisfaction des malentendants est bien supérieur en France par rapport aux pays où les assistants d’écoute sont en vente libre», conclut le journaliste, auteur de ce reportage.
Voir la vidéo

 

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