Publié le 30/10/2023

 

Compte tenu de la grande campagne de lutte contre les fraudes lancée récemment, L’Ouïe Magazine a interrogé la Caisse nationale d’Assurance maladie sur ce que peut faire un audioprothésiste qui serait lui-même victime de malversations (ou de tentatives) : d’une usurpation de son identité, de son titre, comme ont pu l’être des médecins, ou d’une fausse ordonnance…

 

La Caisse nationale d’Assurance maladie nous a répondu dans les grandes lignes. En cas de suspicion de fraude, les audioprothésistes, comme tous les professionnels de santé, doivent se rapprocher de la CPAM de leur territoire. C’est elle qui transmettra le signalement à la CPAM compétente, si elle ne l’est pas elle-même. Ses coordonnées se trouvent sur Ameli. Les professionnels doivent préférentiellement faire une saisine écrite à l’intention du service fraudes de la caisse. Il est utile d’y ajouter un maximum d’éléments pour permettre l’identification du problème et des protagonistes par les agents. Par ailleurs, en cas de suspicion d’usurpation d’identité, la Cnam estime nécessaire que les audioprothésistes fassent la démarche d’un dépôt de plainte.

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