Otoremote défend sa solution comme “totalement conforme au cadre réglementaire actuel”

Publié le 03/12/2025

 

A la suite de la réunion des Assises de la télémédecine, la start-up a tenu à prendre la parole pour expliquer qu’Otoremote donne déjà accès aux consultations ORL « dans un cadre 100 % légal, sans dérogation, sans expérimentation et sans attendre »,  en zones sous-denses.

 

La plateforme française de « télé-ORL » présente la solution Otoremote comme « parfaitement conforme au cadre réglementaire français et aux recommandations de la HAS ». Le médecin réalise à distance les examens nécessaires à la primoprescription – audiométrie tonale (aérienne et osseuse), audiométrie vocale, vidéo-otoscopie – sur un patient en centre auditif. Cette solution permettrait, selon Otoremote, de diviser les délais d’accès aux ORL par 10, en offrant des possibilités de rendez-vous sous 7 jours ouvrés. L’outil de téléconsultation synchrone vise à satisfaire toutes les parties prenantes et à fluidifier le parcours de soins pour les personnes soupçonnées de presbyacousie, après 60 ans. Il est conçu pour offrir un accès rapide au médecin pour le patient, suivi d’une intégration du compte-rendu et de l’ordonnance au DMP. Il laisse la maîtrise au prescripteur testeur. Et il permet à l’audioprothésiste d’intégrer un « parcours pluridisciplinaire conforme », explique la start-up.

Otoremote défend sa solution comme « totalement conforme au cadre réglementaire actuel »

« Il n’est plus nécessaire d’attendre un protocole dérogatoire pour améliorer l’accès aux soins : nous disposons déjà d’une solution opérationnelle, techniquement fiable et réglementairement solide », conclut le Pr. Jérôme Nevoux, Professeur d’ORL au CHU de Bicêtre (AP-HP), utilisateur et fervent défenseur d’Otoremote.

 

Retour à la liste des articles

Les immanquables

Aller en haut