Publié le 04/01/2022

 

L’Association des plateformes Santé se réjouit de la censure de l’article du PLFSS prévoyant un futur encadrement (par décret) des services numériques devant être mis en œuvre par les complémentaires santé pour le tiers payant sur le 100 % santé.

 

Relevant que l’article en question a été considéré comme un cavalier législatif (sans lien direct avec le financement des dépenses de santé), l’AFPS rappelle qu’elle considère l’encadrement des services de tiers payant comme inutile. Elle juge que les difficultés rencontrées dans la mise en œuvre du 100 % santé, notamment en optique, « ne sont en aucun cas liée à un refus de l’Ocam ou de son opérateur ». Les réseaux de soins membres de l’association affirment au contraire soutenir les mesures visant « l’amélioration et le déploiement des dispositifs déjà existants », notamment par l’interopérabilité entre les systèmes d’information. « Une volonté de tous les acteurs des filières concernées (professionnels de santé, éditeurs, fabricants, OCAM et leurs opérateurs) est indispensable » pour continuer à développer le tiers payant (obligatoire sur le 100 % santé depuis le 1er janvier), ajoute l’APFS.

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